Nous étions divisés en deux groupes et certaines personnes du second groupe sont arrivées avant certaines personnes du premier groupe moi inclue, c’était impressionnant. Je pense que j'ai attrape le mal des montagnes sur le chemins en tout cas c'est ce qu'un de mes amis a dit.
Au début je montais dans le groupe de tête, nous montions vite. Puis soudainement je ne pouvais plus respirer correctement, comme si ma poitrine était compressée. Je ne sais pas, j'avais besoin de faire des pauses plus fréquemment et finalement j'ai décidé de dire aux autres de monter sans moi et de ne pas m'attendre. J’étais toujours rattrapée par des gens que je connaissais que je laissais passer pour grimper toute seule.
Je pense qu'avoir des gens autour en train d'essayer de m'aider et de me demander si j'avais besoin de quelque chose me donnais plus de raisons d'abandonner que si j’étais toute seule avec pas d'autre choix que de grimper. C’était très gentil à eux mais je suis juste un combattant solidaire de toute façon. Aussi être seule me permettait d'aller à mon rythme cassé et ennuyeux.
Donc a la fin tout le monde a atteint le sommet. Les 400 derniers mètres étaient l'enfer. Nous avions à monter certaine parties comme des singes. Nous avons eu de la chance d'avoir du beau temps malgré le froid, nous n'avons eu de la pluie qu'au tout début. Je n'ose pas imaginer ce que ça aurait été si il avait plu. Mais au final on a prix des coups de soleil. Je n'avais pas pense avoir besoin de crème, la prochaine fois je saurai.
Nous sommes descendu le Samedi matin, descendre était heureusement plus rapide. Je peux dire que nous avons tous dormi dans le bus. Certains ont dit qu'ils ne le referai pas mais je pense que je le referai si j'ai l’opportunité. du sport extrême une fois de temps en temps nettoie le corps et l'esprit.
Voyage : table des matières
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