Selon mon article précédent, sur le sommeil polyphasique, je suis censée être maintenant dans mon neuvième jour de sommeil polyphasique. En fait, ça ne c'est pas passe aussi bien. On fait j'ai vraiment commencé le lundi suivant.
Mon planning est aussi un peu particulier par rapport au précédent.
J'ai une sieste plus long le matin, juste avant d'aller au labo pour ne pas avoir besoin de dormir là-bas. Donc j'ai une deuxième sieste plus longue à 18h, celle-la n'était pas vraiment prévu mais je dépasse toujours l'heure du réveil sans même entendre l'alarme, la plupart du temps. Donc je loupe toujours ma sieste de 22h et j'ai une sieste normale à 2h du matin comme d'habitude.
C'était pas trop mal pendant la semaine mais j'ai essayé de passer complètement à un planning d'Ubermann pendant le week-end. Au début c'était parfait puis j'ai du loupé une sieste et j'ai pas mal dépasse l'heure de réveil depuis.
La vie est dure pour les dormeur polyphasiques qui veulent faire rentrer leur planning dans une vie faite pour les monophasiques.
De toute façon je fait des progrès même si c'est pas encore parfait et c'est le bon coté de la chose.
Mes projets en générale vont de mieux en mieux également, donc "Tout est pour le mieux dans le meilleur des mondes." (Candide de Voltaire).
Bon, pour les effets secondaires je n'ai pas aussi faim qu'avant pendant la nuit mais je sens vraiment qu'il faut que je dorme avant la sieste de 6 heure du matin. C'est vraiment celle que je ne dois pas louper.
J'ai beaucoup de rêves très intenses et bizarres. J'ai juste à parler de quelque chose ou même seulement de mentionner quelque chose pour en rêver dans la sieste suivante. Je pense que mon cerveau s'occupe des informations reçues dès qu'il les reçoit donc ça devrai avoir un bon effet a long terme. Nous verrons.
A part ça, rien de vraiment spécial. Être polyphasique même de façon bizarre, c'est super.
La version originale de cet article à été publiée le 25 aout 2008.
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